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L’entreprise a abandonné son projet de ne vendre que des modèles électriques et souhaite désormais proposer des modèles hybrides.
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Une version hybride de l’Emira pourrait être ajoutée à la gamme.
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Le successeur électrique de ce modèle a été retardé, mais il est toujours prévu.
Le ralentissement des ventes de VÉ dans le monde entier a conduit de nombreux constructeurs automobiles à revoir leurs plans pour l’avenir, en particulier les plus petits comme Lotus.
En effet, le constructeur britannique de voitures sport a déclaré le mois dernier qu’il n’abandonnerait pas encore les moteurs à combustion.
Au lieu de cela, Lotus ajoutera des modèles hybrides à sa gamme afin de combler le fossé entre les modèles entièrement à essence et les modèles entièrement électriques, en guise de compromis pour les conducteurs qui souhaitent bénéficier des avantages de la performance électrifiée mais qui ne sont pas encore prêts à s’engager dans un véhicule électrique.
Le constructeur automobile a déclaré qu’une version hybride de l’actuel Emira, son dernier modèle à moteur à combustion sur le marché canadien, n’est pas exclue.
Cela semble probable puisque la voiture de sport électrique qui remplacera l’Emira, la Type 135, a été retardée jusqu’à ce que la technologie électrique ait suffisamment progressé pour qu’elle conserve les attributs traditionnels de la marque.
Lotus ayant toujours été connu pour ses coupés et roadsters légers et agiles, le fait d’embarquer de lourdes batteries dans sa prochaine voiture de sport ne plairait pas aux adeptes de la marque.
Pour l’instant, l’Emira est propulsée par deux moteurs au choix, à savoir un quatre cylindres turbocompressé de 2,0 litres provenant de Mercedes-AMG ou un V6 suralimenté de 3,5 litres dérivé d’un groupe motopropulseur de Toyota.
Il est intéressant de noter que l’Emira ne sera probablement pas la première Lotus à recevoir un traitement hybride puisque la société a dévoilé un nouveau système hybride rechargeable appelé Hyper Hybrid EV powertrain au salon automobile de Guangzhou le mois dernier.
Ce système présente une configuration en série, ce qui signifie qu’un générateur à essence charge la batterie, mais n’alimente jamais directement les roues.
Comme ce système a été conçu pour s’adapter à la plateforme qui sous-tend les Eletre et Emeya EV, ces modèles sont susceptibles d’être les premiers hybrides de la marque.
Source : Motor Authority
